Affaire Lola, une horreur déjà oubliée

Lola, la pauvre victime, rappelez-vous en !

Le 14 octobre, la petite fille est enlevée par une jeune femme qui lui fait prendre une douche forcée. La petite Lola est ensuite bâillonnée, violée et asphyxiée à cause du bâillon qu’elle porte. Son corps est mutilé post mortem et on trouve tracés les numéros 0 et 1 sur le corps de la jeune victime. La criminelle de 24 ans a aussi bu une partie de son sang. Lola est finalement mise dans une grosse valise déposée dans la rue. Voilà très brièvement ce qu’il s’est passé.

La coupable, l’horrible algérienne en situation irrégulière obligée de quitter le territoire français avant le 21 septembre a un prénom si peu étonnant : Dabhia

Déjà tant d’horreur, et pourtant ce n’est que le début.

En France en 2021, 922 mineurs ont disparu dans des conditions considérées comme « inquiétante » et ce sans compter les 545 enlèvements de mineurs par leurs parents. Ça laisse sous-entendre que la société dans laquelle nous sommes ne connait pas qu’une affaire Lola mais bien des dizaines voire centaine par an et qui restent dans l’ombre. Peut-être même qu’il se passe des choses bien pires et bien plus malsaines, nous n’en savons rien. Ce sont ainsi des Alix, Emma Nathan, Lucas, Léo, Nolan Maël Léa, Manon, Jade et j’en passe tant et tant, qui ne sont jamais retrouvés. C’est dans ce monde que nous vivons…

Je vous l’ai dit, la principale suspecte est une algérienne en situation irrégulière, mais je ne vais pas revenir sur les 107 488 Oqtf imposées pour seulement 7376 exécutées en 2020 parce que l’on connait déjà la fumisterie, je ne reviendrais pas sur l’invasion migratoire d’irresponsables drogués, logés et nourris par nos impôts, tout cela est vrai, mais ce n’est pas nouveau.

Je vais tout de même m’attarder sur un aspectt assez différent et pourtant tout aussi important, le droit pénal français.

En parlant républicain, on lit dans le code Pénal article 221-4 « Le meurtre est puni de la réclusion criminelle à perpétuité lorsqu’il est commis :

“1° Sur un mineur de quinze ans ; “

De plus, les motifs de « viol avec torture et actes de barbarie », sont des circonstances très aggravantes qui empêchent légalement les réductions de peine.

Mademoiselle Dahbia encourt donc une peine de réclusion criminelle à perpétuité, c’est-à-dire la peine maximale en France, dans l’hypothèse de son meurtre, qu’il y ait eu ou non préméditation. Cependant les magistrats chargés de l’affaire trouveront peut-être des lignes stipulant de cas spéciaux et de circonstances atténuantes. Nous verrons à l’avenir si la Dabhia aura le droit à ce traitement de faveur…

Ainsi il y a plusieurs circonstances atténuantes qui sont souvent prise en compte, la plus classique, c’est la reconnaissance d’un trouble psychique ou neuropsychique pouvant en théorie faire descendre la peine à trente ans, article 122-1 alinéa 2 du Code pénal.

 Je dis bien en théorie puisque l’on a déjà vu des peines raccourcies encore pour ces motifs très souvent douteux et toujours incompréhensibles.

Aussi, les autres circonstances atténuantes comme la reconnaissance des faits et L’embrigadement idéologique et sectaire ne sont pas censées être atténuante dans ce cas aussi grave. Je parle d’embrigadement sectaire car on soupçonne encore la suspecte d’avoir proféré des rites sataniques avec une histoire d’enfants zouhris dont je vous passe les détails.

 En bref la Dabhia n’est pas censée espérer légalement une peine inférieure à trente ans de réclusion.
De toutes façons nous verrons bien comment cette horrible femme, aujourd’hui lourdement protégée contre elle-même et contre les Français, sera jugée par la république…

Parce que oui, ça c’est pour le pénal républicain mais vous savez bien que la justice en France n’a pas toujours été comme ça.  Je vous le donne en mille, les peines sont bien différentes au moyen Age et à la Renaissance, bref sous la Royauté. Pour déterminer quelle aurait été la peine de l’atroce criminelle, tout dépend de la position du juge. Il doit d’abord déterminer le crime principal. Ici on peut faire face à deux cas : premièrement on pourrait considérer que c’est un homicide aggravé et infanticide. La peine c’est bien simple : la Roue avec une amputation préalable des poignets et éventuellement une castration. Bon je ne vous fais pas de dessin.
Dans un second cas, on peut juger cela comme un crime contre nature, alors il est ici aggravé par les trois motifs qui sont le viol, le jeune âge de la victime et la mort de la victime. Dans ce cas très rare dans l’Histoire, (on compte six cas en France entre 1715 et 1791), la peine est simplement le bucher.

Bon, pourquoi je vous parle de ce genre de supplice alors que l’on baigne déjà dans l’horreur ? Ce n’est pas une volonté morbide de ma part mais c’est bien pour rappeler que la Justice a un sens propre et particulier très important. Une sentence comme celle-là est censée marquer les esprits, avoir un pouvoir de dissuasion extrêmement fort. Remettre la morale au centre de la société, faire peur à tous les fous qui seraient capable de ces atrocités. Parce que dans l’appareil républicain, les crimes de cette importance ne sont pas assez punis. Je vous parlais de théorie avec 30 ans de séchoir minimum pour des peines comme ça, en pratique on se doute qu’elle sortira bien avant pour des raisons obscures que l’on connait. Et puis elle recommencera dans l’ombre. Et ce ne sont pas les 200 nouvelles chambres d’hôtel, ou place de prisons appelez les comme vous voulez promises par monsieur Darmanin qui vont l’empêcher elle ou des fous comme elle de rester derrière les barreaux.  

Tout cela donne envie de faire justice soit même. Et ça, quand on entreprend ces choses-là sérieusement, je ne parle pas pour moi bien sûr, mais ça doit ouvrir les yeux de n’importe quel aveugle. Sérieusement, lorsque l’Etat ne rend plus la justice, ou du moins qu’elle ne se fasse plus respecter, ça montre exactement que l’Etat est en train de mourir. Le droit, dans toute les sociétés est ce qui légitime tout pouvoirs.

La paix, le calme, la prière, nous ne devons pas avoir le plus animal des comportements. Déjà de nombreuses manifestations totalement pacifiques et respectueuses se sont déroulées dans la plupart des grandes villes. Certes elles n’ont pas l’air d’avoir menée à de grands bouleversements, mais elles ont contribué à faire sortir les gens de chez eux, à créer du lien, c’est déjà ça.

 J’aimerais pour finir vous rappeler à vous tous frères catholiques, de prier pour Lola, pour le repos de son âme, mais priez aussi pour celle dont on dit désormais le prénom avec horreur, et pour tous ceux qui ont perdus leur caractère humain. Pour ces êtres vivants qui ont perdus toute foi, qu’il puisse la retrouver. Parler aujourd’hui de pardon peut être difficile, impensable et irresponsable, mais pardonner, ce n’est pas oublier.

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